Notre culture, à nous les Zêtas du Service-Envers-Autrui, permet à chaque entité de sépanouir pleinement dans son individualité. Nous ne mettons aucune contrainte sur la personne, qui a le loisir de choisir son activité en fonction de ce quelle pense devoir faire pour les autres. Ce choix ne lui reste pas en travers de la gorge comme cest le cas dans la société humaine plus souvent quil ne le devrait. Car ce nest pas une décision collective, comme cest le cas dans la société humaine, où beaucoup de gens intéressés « aident » la personne à décider. Les parents, qui sattendent à ce que leurs investissements portent leurs fruits. Le conjoint ou la conjointe, qui attend que son partenaire comble ses désirs. Le camarade de travail, qui espère que ses collègues lui viendront en aide ou le remplaceront.
Dans notre culture, nous appliquons le principe qui veut que chaque personne , en sa propre vérité, choisisse son destin, et quelle le fasse vivre, comme nous disons dans notre société. Nous faisons cela dans lamour, et chaque personne connaît les besoins de la société toute entière, et prend cela en considération en choisissant sa voie. Ce qui se rapprocherait le plus de cet idéal serait la démocratie des institutions aux Etats Unis. Mais cet idéal nest malheureusement pas mis en pratique.
On accuse quelquefois les Zêtas dempêcher lhumanité de suivre sa propre destinée. Est-ce que quiconque peut penser quen tout état de cause, lhumanité suit sa propre destinée? Ceux qui se prétendent des dirigeants, que ce soit par le droit du sang ou par celui de la réussite, ont-ils le droit de dicter son destin à lhumanité? En quoi cette attitude est-elle moins arrogante que celle dont on accuse les Zêtas? Ce type de plainte ne vient pas de lhumanité en général, mais de ceux qui usurpent la liberté de cette même humanité. Ces accusateurs devraient se regarder dans une glace. Ils verraient dans le miroir ce quils reprochent aux Zêtas.