Notre message n'est pas populaire, comme vous aurez pu en juger. Nous avons de l'à-propos dans les
débats, ce qui offense l'élite collet monté des autorités scientifiques qui croient posséder la clé du savoir. Nous
abhorrons les arnaques, surtout quand l'arnaque n'est pas innocente et fera du mal à des millions d'innocents, y
compris les enfants. Comme Nancy, notre émissaire, est protégée par des méthodes que nous ne serions pas
très avisés de divulguer, ceux qui mentent à l'humanité dans les groupes de discussion sur le web se retrouvent
face à un adversaire qu'il est difficile de faire taire! Cela les rend fous furieux. Et puis il y a ceux qui sont
effrayés à l'idée que l'homme n'est pas seul dans l'Univers en tant qu'espèce intelligente. Ils prennent nos
échanges de courrier pour cible dans leur besoin hystérique de s'inscrire en faux. Puis il y a ceux qui font partie
de l'« establishment », qui savent que nous existons mais qui veulent que les populations, dans leur ensemble,
s'accrochent encore à eux et continuent de les considérer comme leurs dirigeants. Ils ne veulent pas que
quiconque lise notre message avec un esprit ouvert, ni même qu'il le lise du tout, et ils font leur possible pour
jeter de l'opprobre et des diversions sur la voie des discussions ouvertes et des débats.
Si donc nous et notre émissaire, Nancy, sommes encouragés par les progrès que fait l'humanité, il faudrait être
fou pour ne pas mettre en garde le plus possible contre le sabotage. Quel sabotage, demanderez vous? Si nos
ennemis et ceux qui voudraient nous faire taire ne peuvent le faire en tuant, en blessant ou en intimidant Nancy,
alors quelles voies s'ouvrent à eux? S'il n'existait pas les droits d'auteur, et leur recours légal, les Dires des
Zêtas seraient diffusés partout, mais ce ne serait pas notre message. Ne pensez vous pas qu'il existe de telles
prises de contrôle sur les canaux de communication établis? C'est un truc qui marche bien, en fait. Non
seulement on vole leurs écrits aux auteurs et on dérobe virtuellement leurs brevets aux inventeurs, lorsqu'un lieu
de communication a un large public comme c'est le cas pour les Dires des Zêtas, mais encore on emploie toute
sorte de moyens pour les corrompre ou les menacer d'envoyer un message différent.
Nous avons conseillé notre émissaire, Nancy, dont le courage n'a pratiquement aucune limite, sur actions à
mener pour éviter les pièges. Elle s'y est donc pliée, et a obtenu sa marque bien avant qu'elle ne devienne
largement connue, elle a obtenu le nom de son site Internet avant que ses ennemis ne puissent réaliser quelle
forte menace elle représentait, et il y a eu beaucoup, beaucoup de trucs employés pour que les ennemis des
Dires des Zêtas soient amenés à croire qu'elle était sous contrôle et sur le point d'être éliminée, ce qui n'était
pas vrai. Pourquoi les avoir abusé? Cela a temporisé, et engendré du contentement chez des personnes qui
nous auraient mené une bataille rangée, s'il en avait été autrement. Tous ces stratagèmes ont bien fonctionné!