Lorsque la victime dun accident reporte sa rancune à loccasion dun nouvel accident, où des spectateurs qui nétaient pas impliqués la première fois ne connaissent pas le préjudice subi et ne se sentent donc certainement pas coupables vis à vis de la victime, un complexe du Bon Samaritain peut naître chez la victime et celle-ci dattaquer ses sauveteurs sans réfléchir. Comment les choses se déroulent elles? Sur qui rejeter la faute dans ce cas précis? Qui désigner pour responsable, comme le veulent la plupart des sociétés humaines? La réponse consiste à observer quil y a deux victimes dans ce cas. Cest un sujet qui est souvent abordé par vos médias, celui du bon Samaritain emporté dans le cycle de la violence, le sauveur qui doit se battre avec les démons que ses bonnes intentions ont fait naître.