Les Dires de Zeta: Nombres Magiques
Les nombres magiques n'ont une signification que dans l'esprit des humains qui les répètent, les révèrent ou
les craignent.
- 666 est associé au mal, au diable ou à l'Antéchrist mais il n'a aucune signification en soi. 666 est un
nombre dont on se souvient, et il fut donc utilisé comme type de nom à associer aux entités oeuvrant
dans l'orientation du Service-Envers-Soi.
- 7 ne porte pas plus chance qu'aucun autre chiffre, mais c'est un nombre qui apparaissait rarement dans
les pratiques de calcul de l'homme primitif, et qui parut donc plus exceptionnel. 1 est toujours présent,
2 est utilisé pour les paires, 3 départage le groupe, 4 est un multiple de deux, 5 reflète les doigts de la
main, 6 est un multiple de 2, et voilà le 7.
- 11:11 est une combinaison de nombres qui intrigue les humains de par ses potentialités numériques.
C'est une double paire, mais il en ressort aussi que le quadruplé est constitué d'individus seuls et que
chaque paire peut opérer toute seule. 11 est aussi un nombre peu commun, qui n'était pas souvent
utilisé dans les pratiques de calcul primitives, et dont on a pu déduire des propriétés magiques à son
usage.
Certains nombres apparaissent régulièrement dans les mathématiques ou la société humaine parce qu'ils sont
entrés dans le système pour telle ou telle raison logique ou sentimentale et que le système s'est développé
autour d'eux jusqu'à ce qu'ils y deviennent enracinés.
- 10 apparaît souvent, ou tout nombre qui le divise tel que 2 et 5, de par l'adoption du système décimal,
ce qui est logique car l'homme a généralement 10 doigts.
- 12, la bonne douzaine, a une origine ancienne liée à la bonne mesure, en sorte que si un marchand
vendait 10 pièces de quelque chose, il en donnait une de plus par main, pour la bonne mesure ou pour
montrer ses bonnes intentions. Si l'un des articles achetés se montrait de mauvaise qualité, le
supplément avait pour objet de le remplacer.
- 360, ou son dérivé 36, apparaît dans les mathématiques humaines pour décrire un cercle de 360
degrés, et ce n'est pas un hasard. La décision d'affecter 360 degrés au cercle fut entièrement arbitraire,
car n'importe quel nombre aurait pu faire l'affaire. 360 vient de l'ancien mot sumérien shar, comme l'a
expliqué Sitchen, relatif au nombre moyen d'années que prend la 12ème Planète a parcourir un cercle.
Toute le reste a suivi, comme le nombre 90 pour représenter l'angle droit.